Ãëàâíàÿ Ðåôåðàòû - Èíîñòðàííûå ÿçûêè
2. Répondez aux questions et discutez-les en groupes. 1. Avez-vous de pareilles discussions dans votre famille avec vos parents (votre frère, votre sœur) ? 2. Est-ce que ce sont les discussions sérieuses ou bien on les oublie vite ? 3. Qu’est-ce qu’une famille pour vous ? Ce ne sont que les liens de sang ou bien les liens affectifs, l’ensemble des personnes liées entre elles (par la fi liation ou le mariage ...) ? 3. Lisez attentivement le document. Vous allez présenter ce document à vos amis, puis discuter avec eux de son contenu. Pour préparer cette présentation, aidez-vous du questionnaire suivant : – De quel genre de document s’agit-il (lettre, article, publicité, etc.) ? À quoi le voyez-vous ? – Pourquoi a-t-il été écrit ? À quel public est-il destiné ? – Quel est son sujet principal ? Quel est le problème qu’il pose ? Quelles informations ou quelles idées vous paraissent particulièrement importantes ? – Comment réagissez-vous par rapport à ce document ? Qu’en pensez-vous ? Éveiller l’esprit critique de ses enfants Donner à son enfant les moyens de réfl échir par lui-même : l’éveil de l’esprit critique est l’un des signes les plus importants d’une éducation réussie. Car c’est ce sens critique qui permet à l’enfant, puis à l’adolescent, de faire des choix qui lui appartiennent vraiment, et d’avoir plus tard la volonté de suivre son propre chemin. Autrement dit, de ne pas passer sa vie « sous infl uence » ! Construire des repères solides « Les enfants ont besoin de faire confi ance à la parole des adultes, à commencer par leurs parents, et de considérer que ce qu’on leur dit est s ûrement vrai , analyse le docteur Francis Curtet. Cependant, il est très important de leur faire comprendre très tôt qu’il y a des lieux où l’on ne dit pas forcément la vérité, par exemple à la télévision et dans la publicité. Et que certaines personnes peuvent cacher, volontairement ou non, une partie de la réalité. » À la base, il y a des choses qui ne se discutent pas : « Sur les questions de l’alcool, de la drogue ou de la cigarette, nous avons posé clairement nos interdits. C’est comme ça et pas autrement. Nous avons expliqué à nos fi lles le pourquoi de ces règles, mais il n’est pas question qu’elles y dérogent » insiste Xavier. Ce cadre fort pose les lois intangibles, car elles protègent la vie de l’enfant. Pour le reste, en revanche, le jeune doit se sentir libre d’examiner n’importe quelle idée. Solliciter son opinion, même s’il est encore petit, et lui demander de l’argumenter l’aide à prendre confi ance en ses propres facultés de jugement. Marielle Morjean, Dossier Familial , janvier 2005 4. Trouvez dans le texte les propositions qui expliquent les idées suivantes : – il ne faut pas croire à tout ce qu’on dit ; – cela éduque la tolérance ; – une réfl exion autonome. 5. Répondez aux questions et argumentez votre réponse. 1. Pourquoi, à votre avis, les questions de la drogue, de l’alcool, de la cigarette ne se disputent pas dans cette famille ? 2. D’après vous, quelles idées soulevées dans ce texte protègent la vie de l’enfant ? 3. Êtes-vous d’accord avec cette argumentation que la télévision et la publicité sont des lieux où l’on ne dit pas forcément la vérité ? 4. Comment cela se passe dans votre famille ? Pouvez-vous librement, sans peur, dire ce que vous pensez ? 5. Appréciez-vous ou non cette méthode d’éducation des enfants dans la famille ? À votre avis, à quoi ça sert ? 6. Trouvez dans le texte des mots et des expressions qui sont liés à la liberté de la parole. 7. Trouvez 15 substantifs qui sont cachés horizontalement ou verticalement dans cette grille. Ils appartiennent tous au monde de la famille.
8. Répondez à la question Comment appelle-t-on un homme ... ? E x e m p l e : Un homme qui aime la paix s’appelle un homme pacifi que. 1. Qui aime la guerre ? Un homme qui ... 2. Qui travaille beaucoup et aime à travailler ? 3. Qui ne fait rien ? Un homme qui ... 4. 5. Qui recherche la société ? Un homme qui ... 6. Qui est porté à la tristesse et rit rarement ? Un homme qui ... 7. Qui a de l’amour pour quelqu’un ? Un homme qui ... 8. Qui mange et boit avec modération ? Un homme qui ... 9. 10. Qui a des sentiments nobles et donne toujours avec libéralité ? Un homme qui ... 11. Qui professe des opinions libérales ? Un homme qui ... 12. Qui croit facilement ? 13. Les mots à utiliser : belliqueux, sociable, solitaire, adroit, orgueilleux, sobre, généreux, distingué, crédule, présomptueux, soupçonneux, ponctuel, amoureux. 9. Remplissez les phrases par les verbes à l’infi nitif. 1. Nous voyons les bateaux ... lentement. 2. Nous regardons ... les piétons sur le passage clouté. 3. Elle entend le train ... près de chez elle. 4. Ils écoutent le pianiste ... dans la salle voisine. 5. Nous entendons les enfants ... dans la cour de récréation. 6. Elle voit ...les nuages dans l’eau claire. 7. Il a vu l’arbre ... sur la voiture. 8. Ils entendaient les avions ... au-dessus du village. 9. Elles ont entendu ... le canon au loin. 10. J’entends les loups ... dans la forêt toute proche. 11. Nous avons regardé les bûcherons ... les gros arbres. 12. Elle écoutait attentivement le professeur ... la leçon. Les verbes à utiliser : gronder, expliquer, hurler, abattre, glisser, traverser, passer, jouer, crier, se refl éter, s’écraser, passer .
|
Faire une découverte scientifi que |
48 % |
Diriger une grande entreprise |
45 % |
Écrire un livre de philosophie |
18 % |
Être le meilleur ouvrier de France |
18 % |
Créer une œuvre d’art |
7 % |
Sans opinion |
4 % |
Le Nouvel Observateur, 14-20 mai
2. Est-ce qu’il y a des réponses qui vous surprennent ?
13. Choisissez un des sujets proposés et argumentez votre réponse en 15-20 phrases.
1. Les liens familiaux sont moins forts aujourd’hui qu’autrefois. Qu’en pensez-vous ?
2. On choisit ses amis, pas sa famille ! Qu’en pensez-vous ?
3. Les mères savent mieux s’occuper des enfants que les pères. Qu’en pensez-vous ?
4. Aujourd’hui, on reste jeune plus longtemps. Qu’en pensez-vous ?
5. Pensez-vous que les parents attendent la même chose d’un fi ls ou d’une fi lle ?
6. Peut-on tout raconter à un ami ou vaut-il mieux garder quelques secrets ?
14. Placez les mots suivants dans le texte. Attention, il y a plus de mots propo-sés.
Les mots à utiliser : devoirs – payer comptant – ferme – touche – campagne – cantine – apprendre – conditions de travail – esprit d’équipe – football – valorisant – champs – faire des économies – récréation – horaires de tra vail – rivière – sportif – esprit d’initiative – résistant
La mère : « Pour mon fi ls, la journée d’école est longue car il mange à la ... (1). Il aime le sport et il est très ... (2). Son sport préféré est le ... (3). Le soir mon mari et moi nous l’aidons à faire ses ... (4). »
Le fi ls : « Mon père est entraîneur de football, il dit que l’important pour un joueur, c’est d’avoir l’... (5) et d’être ... (6). Il trouve que les ... (7) sont bonnes. Il ... (8) un bon salaire mais pour l’instant, il ne veut pas m’acheter de scooter car il dit qu’il faut ... (9) pour acheter une maison à la campagne. »
15. Choisissez la bonne réponse.
1. Quand j’étais petit, je ... des mensonges.
a) c disait b) c disais c) c avais dit
2. Luc et moi, on ... l’habitude d’aller dans ce café.
a) c avaient b) c avions c) c avait
3. Catherine habitait Montparnasse parce que ses parents ... un deux pièces bon marché.
a) c avaient trouvé b) c trouvaient c) c trouveraient
4. J’ai une copine dont ... père est prof de littérature.
a) c son b) c le c) c ce
Orthographe
1. Réécrivez ce texte en complétant correctement tous les mots dont une partie est effacée. Les points de suspension représentent une ou plusieurs lettres.
Un vie... homme était assis... sur un ban... à l’o...bre. Il semblait a...endre quel...’un, par...e qu’il je...ait consta...ent des cou... d’œil, à droite et à gauche. Soud...n, il a sorti enve...o...e de sa poche et a rel... la le...re lon...ement. Pui... il s’... est allé d’un air triste.
2. Réécrivez chaque phrase en la complétant, selon les cas, par son, son(s), ou sont.
1. Les ... que ... frère tire de sa guitare ... bien discordants.
2. À ... retour vous lui indiquerez où ... ses disques.
3. Les biscuits ... dans ... petit sac.
3. Réécrivez chaque phrase en la complétant, selon le cas, par a ou à.
1. L’homme ... un pansement ... la cheville.
2. Hier, ... l’aube, il ... fait son lit, ... déjeuné et ... quitté la maison, une valise ... la main.
3. Mais, ... trois heures, le car ... une heure de retard déjà.
4. Accordez chaque verbe avec son sujet.
1. Leur mère, tous les soirs, promèn... ses chiens, le long de ses avenues.
2. Les sauveteurs la portai... sur un brancard.
3. La vague les soulèv... et ils ri... aux éclats.
4. Le gardien n’avai... pas compris d’où provenai... les cris.
5. Les enfants se pressai... autour du panier pour voir les poissons que rappotrai... le pêcheur.
Grammaire
5. Réécrivez ces phrases, en mettant les verbes au passé composé. Attention à l’accord du participe passé.
1. La nuit tombe brusquement.
2.
3. Les chevaux passent la haie et sautent la rivière.
4.
6. Lisez le texte et faites les devoirs qui le suivent.
Madame Rosa disait que chez les animaux c’est beaucoup mieux que chez nous, parce qu’ils ont la loi de la nature, surtout les lionnes. Elle était pleine d’éloges pour les lionnes. Lorsque j’étais couché, avant de m’endormir , je faisais parfois sonner à la porte, j’allais ouvrir et il y avait là une lionne qui voulait entrer pour défendre ses petits. Madame Rosa disait que les lionnes sont célèbres pour ça et elles se feraient tuer plutôt que de reculer . C’est la loi
de la jungle et si la lionne ne défendait pas ses petits, personne ne lui ferait confi ance.
Je faisais venir ma lionne presque toutes les nuits. Elle entrait , sautait sur le lit et elle nous léchait la fi gure, car les autres aussi en avaient besoin et c’était moi l’aîné, je devais m’occuper d’eux. Seulement, les lions ont mauvaise réputation parce qu’il faut bien qu’ils se nourrissent comme tout le monde.
Émile Ajar / Romain Gary, La Vie devant soi , Mercure de France éd.
A. Justifi ez l’orthographe du nom lionne . Quel est son masculin ? Trouvez deux autres noms présentant la même particularité orthographique. B. À quel mode sont les verbes soulignés ? Dites pourquoi.
C. Justifi ez l’accord des verbes en italiques ; indiquez le temps et le sujet de ces verbes.
D. Trouvez les mots de la même famille que : sonner, confi ance, occuper, nourrir .
E. Le narrateur est-il un garçon ou une fi lle ? Trouvez deux accords qui le montrent .
7. Mettez ces phrases à la forme interrogative (quelques variantes sont possibles).
1.
2. Vous nagez souvent.
3. Elles se sont perdues dans les bois.
4. Elles rencontrent toujours quelqu’un qu’elles connaissent.
8. Répondez aux questions suivantes.
1. Qui doit-il rencontrer ?
2. Comment êtes-vous entré ?
3.
4. Qu’est-ce qui la fait rire ?
9. Trouvez la question à chaque phrase.
1. Avec un stylo.
2. Parce qu’il fait trop froid.
3. Je l’ai rencontré en Suisse.
4. Oui, dans trois jours.
5. Pour une amie.
10. Réécrivez ces interrogations de l’oral en utilisant l’inversion.
1. Il viendra quand ?
2. Tu t’appelles comment ?
3. J’ai donné mon livre à qui ?
4.
5. Vous allez où ?
Lisez le texte, puis répondez aux questions, en cochant la bonne réponse, ou en écrivant l’information demandée.
UN ANGE PASSE...
Star de la chanson française, Vanessa Paradis est aussi une actrice intense et passionnée. C’est une nouvelle fois le cas dans « Mon ange », une histoire d’amour entre une femme égarée* et un jeune homme troublé. L’occasion pour nous d’une rencontre... paradisiaque.
A Nous deux Paris (ANP) : Pourquoi avez-vous accepté ce rôle de femme égarée qui cherche à tout prix à faire un enfant ?
Vanessa Paradis (VP) : Parce qu’il s’agissait d’une belle histoire, parce que cette femme m’a touchée au plus profond et que j’avais envie d’enfi ler son costume, tout simplement.
ANP : « Mon ange » est un premier fi lm. Cela a une importance pour vous ?
VP : On parle souvent de mise en danger lorsqu’on tourne dans un premier fi lm, parce qu’on ne sait pas comment on va s’entendre avec un nouveau réalisateur*. Moi, au contraire, je trouve ça terriblement fl atteur* et excitant. Une première fois au cinéma, c’est comme dans tous les domaines : on réfl échit on fonctionne plus à l’insouciance, à l’envie et à l’énergie.
ANP : La fi n du fi lm se déroule dans un somptueux paysage de champs de tulipes* qui s’étalent à perte de vue. Vous étiez impressionnée ?
VP : Je n’avais jamais vu une chose pareille. C’est ça le bonheur du cinéma. Là, c’est la première fois de ma vie que je voyais vingt kilomètres de champs de tulipes multicolores. C’est comme voir le Père Noël quand on a quatre ans. C’était merveilleux. Et encore, à l’écran, on en voit beaucoup, mais pas tout.
En vrai, c’est pfff... C’est comme d’aller au cirque !
ANP : Que diriez-vous pour donner envie aux gens d’aller voir ce fi lm ?
VP : Si la plupart des gens vont au cinéma pour des raisons identiques aux miennes – voyager, se réchauffer avec de belles idées, une belle histoire et de
belles images – alors, franchement, il faut y aller ! C’est un véritable petit moment de bonheur.
ANP : Et votre carrière à Hollywood ?
VP : On pose souvent cette question aux comédiens, et peut-être plus encore à quelqu’un qui est marié avec un acteur très célèbre là-bas. Je ne refuse pas d’y tourner mais il faut une histoire et un rôle. C’est toujours ça qui m’attire et qui m’embarque* dans une aventure. Mais c’est aussi très facile pour moi de parler comme ça, parce que j’ai commencé ce métier avec un succès. Le succès, c’est une liberté de choix pour la suite. Donc, c’est peut-être aussi pour ça que je ne rêve pas de gloire, de m’exporter ou de faire carrière à Hollywood. Je suis une enfant gâtée. C’est un immense privilège de choisir ce qui vous tient à cœur.
ANP : Est-ce que votre statut de star n’est pas parfois trop lourd à porter ?
VP : Non, il faut relativiser. C’est vrai que ce n’est pas toujours facile, surtout quand on est en train de vivre sa vie privée et qu’on essaye de vous en voler des petits bouts à travers une photo. À côté de ça, ce métier et ce statut m’offrent tellement de cadeaux que je n’ai absolument pas le droit de dire que c’est dur. Travailler à l’usine, c’est dur ; ne pas avoir à manger dans son frigo*, c’est dur !
Même si certains jours il m’arrive de râler*, je n’ai pas le droit de me plaindre.
ANP : D’autres projets ?
VP : La musique, je prépare mon album.
ANP : Vos résolutions* pour 2005 ?
VP : À peu près toujours la même : essayer d’être quelqu’un de bien.
D’après A Nous Deux Paris II , n° 253, 17-23 janvier 2005
* égarée : perdue, désorientée
* réalisateur : cinéaste
* fl atteur : agréable
* tulipe : sorte de fl eur
* embarquer : entraîner
* frigo : réfrigérateur
* râler : se plaindre pour des choses peu importantes
* résolution : projet, décision
1. Vrai ou faux ? Cochez la case correspondante et justifi ez vos réponses avec une expression du texte.
Vrai Faux
a) Vanessa Paradis a été émue par le personnage qu’elle devait c c jouer. Justifi cation : ...
b) Vanessa Paradis n’aime pas l’idée de tourner avec un nou- c c veau réalisateur. Justifi cation : ....
c) Vanessa Paradis ne va pas au cinéma pour les mêmes rai- c c sons que la plupart des gens. Justifi cation : ...
d) Vanessa Paradis rêve d’aller faire carrière à Hollywood. c c
Justifi cation : ...
2. Quelle est la signifi cation exacte des phrases suivantes dans le texte ? Cochez la case correspondante .
a) « (...) j’avais envie d’enfi ler son costume (...)»
c Je voulais essayer ses habits.
c Je voulais la rencontrer. c Je voulais me mettre à sa place.
b) « C’est un immense privilège de choisir ce qui vous tient à cœur. »
c C’est une grande chance pour moi de pouvoir faire ce que j’aime.
c C’est très rare quand je peux faire ce que j’aime.
c C’est absolument normal de faire seulement ce que l’on aime.
3. Les affi rmations suivantes sont-elles vraies ou fausses ? Cochez la case correspondante et justifi ez par une phrase ou une expression du texte.
Vrai Faux
a) Quand on joue pour la première fois dans un fi lm, c’est sur- c c tout la réfl exion, le calme et l’expérience qui sont importants.
Justifi cation : ...
b) C’est quand le sujet et les personnages lui semblent in- c c téressants que Vanessa Paradis décide de faire un fi lm.
Justifi cation : ...
c) Quand on réussit un fi lm, on peut plus facilement décider c c quel fi lm on fera ou non dans le futur. Justifi cation : ...
4. Selon Vanessa Paradis, qu’est-ce qui est vraiment dur ? Cochez la case correspondante.
a) c Le fait de s’exporter à Hollywood.
b) c Le fait de travailler à l’usine.
c) c Le fait de fonctionner à l’insouciance.
Ados, bougez-vous !
Un programme destiné à lutter contre l’obésité fait ses preuves. Le but est d’arracher les ados de leur télé pour les mener à un peu plus d’activité physique.
Un programme éducatif inédit, lancé en 2002 dans le Bas-Rhin et fondé sur l’incitation à l’activité physique des collégiens, a permis une réduction de 21 % de l’obésité chez les adolescents et une amélioration de leur état de santé, révèle une étude à mi-parcours.
Hip-hop, capoeira...
« On a réussi à changer leur mode de comportement, on ne s’attendait pas à voir un effet aussi rapidement », se félicite le docteur Chantal Simon qui dirige le projet, baptisé ICAPS (Intervention auprès des Collégiens centrés sur l’Activité Physique et la Sédentarité) prévu sur quatre ans.
Le projet concerne au total 1 048 élèves répartis dans huit collèges du BasRhin. Les collégiens, suivis depuis leur arrivée en 6e , ont été divisés en deux groupes : d’un côté ceux bénéfi ciant de l’ « action » du programme éducatif, de l’autre ceux servant de groupe « témoin » permettant de comparer les résultats obtenus.
« Une activité physique ce n’est pas seulement du sport, cela peut-être aussi des jeux dans la cour ou du hip-hop », commente le docteur Simon, soulignant l’importance de renouer avec la notion de « plaisir » plutôt que d’effort
chez des adolescents de plus en plus sédentaires, happés par la télévision ou les ordinateurs.
Au programme : hip-hop, aérobic, capoeira, canne et bâton, jeux pré sportifs, football et autres sports d’équipe... « sans compétition et sans notes » organisés pendant les heures de permanence ou après les cours et complétés notamment par des journées « tous à vélo à l’école » ou des rencontres avec des sportifs de haut niveau.
Refus de la compétition
Frein. Au premier rang des raisons évoquées par les adolescents pour ne pas pratiquer d’activité physique : le refus de la compétition. C’est entre 12 et 16 ans que cette pratique de l’activité physique a tendance à diminuer.
Le Journal du Centre
Répondez aux questions.
1. De quel genre de document s’agit-il (lettre, article, publicité, etc.) ?
À quoi le voyez-vous ?
2. Pourquoi a-t-il été écrit ? À quel public est-il destiné ?
3. Quel est son sujet principal ?
4. Quelles informations ou quelles idées vous paraissent particulièrement importantes ?
5. Comment réagissez-vous par rapport à ce document ? Qu’en pensezvous ?
1. Lisez attentivement le document. Vous allez présenter ce document à vos copains, puis discuter avec eux de son contenu.
Quel prénom pour 2010 ?
Lucas.
Les modes se suivent et ne se ressemblent pas. Aujourd’hui, le prénom se raccourcit, se mondialise, exprime le besoin d’exotisme des parents. Jean-Marc de Foville, auteur du livre Un prénom pour mon enfant , et ancien rédacteur en chef du magazine Parents , confi rme.
– Comment aujourd’hui le prénom évolue-t-il?
« Depuis une vingtaine d’années, il évolue considérablement. Les «variations» sont nombreuses, notamment orthographiques. Exemple avec Catherine qui ne compte pas moins de 200 orthographes différentes, dont une avec un K. Le prénom vient de tous les continents. On constate aujourd’hui que les dix prénoms les plus courants représentent au maximum 18 % des prénoms attribués dans l’année. Dans les années 1950, ils en représentaient 40 à 45 %. Depuis 2000, la mode est aux prénoms courts comme Léa, Théo... Parce que c’est plus facile, plus rapide à prononcer. C’est aussi plus clair. Mais certains prénoms longs persistent comme Alexandre, le prénom calédonien Maéva ou le grec Océane. »
– Qu’est-ce qui explique cette évolution ?
« Les traditions familiales qui consistaient à donner à un nouveau-né le prénom d’un membre de la famille et les traditions chrétiennes qui faisaient que l’on attribuait le nom d’un saint ont été remises en cause dès les années cinquante. Les parents se sont beaucoup inspirés des pays anglo-saxons où on
donne le prénom que l’on veut, même un patronyme. Finalement, la loi de 1993 a cédé à la pression sociale. »
– Quelles peuvent être les incidences d’un prénom sur l’enfant ?
« Si le prénom est long, particulier, l’enfant, petit, peut avoir du mal à le comprendre. D’où le recours aux diminutifs, aux surnoms. Lorsqu’il grandit, va à l’école, l’enfant prend conscience de la façon dont ses amis, son entourage réagissent à son prénom. S’il peut donner lieu à des calembours, à des déformations, il peut éventuellement en souffrir. Ce n’est également pas toujours évident pour un enfant d’être relié à un personnage de l’Histoire, une vedette. Exemple avec Zinédine qui aura peut-être du mal à accepter d’être un piètre footballeur.
Avec les nouveaux prénoms, comme Chloé, on voit apparaître un autre problème : ces prénoms n’ont pas de fête. Les enfants ne le comprennent pas toujours. »
Marie-Catherine Nicodême, La Voix du Nord
2. Répondez aux questions.
1. De quel genre de document s’agit-il (lettre, article, publicité, etc.) ?
À quoi le voyez-vous ?
2. Pourquoi a-t-il été écrit ? À quel public est-il destiné ?
3. Quel est son sujet principal ?
4. Quelles informations ou quelles idées vous paraissent particulièrement importantes ?
5. Comment réagissez-vous par rapport à ce document ? Qu’en pensezvous ?
1. Écoutez le dialogue.
C’était comment avant ?
Gautier : Dis papi, c’était comment quand tu étais petit ?
Papi : Quand j’étais petit ?
Gautier : Oui, quand tu étais grand comme moi, qu’est-ce que tu faisais ?
Papi : Ce n’était pas du tout comme maintenant. Il n’y avait pas de télé à la maison, par exemple.
Gautier : Tu n’avais pas de télé ?
Papi : Non, elle existait déjà, mais on ne l’avait pas à la ferme. La télé, c’était un luxe à l’époque !
Gautier : Et alors, qu’est-ce que tu faisais le soir après l’école ?
Papi : On s’amusait bien ! On jouait tous ensemble. On était toujours dehors sauf quand il pleuvait...
Gautier : Et le week-end ?
Papi : Quand j’avais bien travaillé pendant la semaine, j’allais avec père ramasser des champignons et plus tard même à la chasse.
Gautier : Et pendant les vacances ?
Papi : Presque tous les ans je partais en colonie des vacances. Parfois, je restais à la ferme. Mais on ne s’ennuyait pas. On grimpait aux arbres, on se baignait dans la rivière, et puis, j’adorais les pique-niques ! On allait aussi aux fêtes des villages...
Gautier : C’était mieux que maintenant ?
Papi : Je ne sais pas si c’était mieux ; c’était différent... La vie était dure aussi, tu sais... Allez, viens, on parle, on parle et mamie nous attend. Elle a préparé tes plats préférés.
Gautier : C’est super avec vous. Papi vient me chercher à l’école et mamie me fait des gâteaux !
2. Répondez aux questions et justifi ez vos réponses.
1. Qui sont les personnages ? Où sont-ils ? Que font-ils ? Quand ? Pourquoi ?
2. De quoi parle le grand-père de Gautier ? Pourquoi en parle-t-il ?
3. Quelles étaient les activités du grand-père le soir après les classes, le dimanche et pendant les vacances ?
4. Pensez-vous que Gautier a les mêmes activités de loisirs ?
5. Est-ce que Gautier aime être avec ses grands-parents ?
3. Mettez les verbes entre parenthèses à l’imparfait ou au plus-que-parfait.
1. J’(être) très fi er du cadeau que mon père (acheter).
2. L’après-midi, quand nous (terminer) nos devoirs, nous (aller) jouer avec nos amis. Ma mère nous (appeler) quand elle (fi nir) de préparer le repas.
3. Ma sœur (sortir) avec un jeune homme qu’elle (connaître) chez nos amis. Il (être) Suisse mais il (vivre) en Italie jusqu’à l’âge de 18 ans.
4. Ma grand-mère nous (préparer) des sandwiches avec le pain qu’elle (faire).
5. Ma mère (passer) ses vacances à la campagne, dans la maison où (grandir) son père.
6. En été, on (faire) une promenade quand on (fi nir) de dîner.
4. Complétez le texte en mettant les verbes entre parenthèses à l’imparfait.
Il (être) midi. Il (faire) chaud. Les gens (marcher) lentement. J’(être) fatigué et (avoir) envie de rentrer chez moi. Antony (marcher) à côté de moi. Nous (parler). Nous (avoir) beaucoup de choses à nous dire. Notre histoire d’amour (commencer).
5. Lisez le texte paru dans le quotidien « Le Journal du Centre », puis répondez aux questions, en cochant la bonne réponse, ou en écrivant l’information demandée.
Conduire à 16 ans ?
Si le président du Conseil national de sécurité routière (CNSR), Robert Namias, s’est déclaré favorable à l’idée du permis de conduire à 16 ans, les autres responsables semblent eux s’inquiéter des risques d’accidents que cela impliquerait*.
« Le permis à 16 ans réglerait une partie du fl éau* de la conduite sans permis », estime Robert Namias. Il explique vouloir mieux intégrer l’éducation à la sécurité routière dans le cursus* s colaire des jeunes Français, qui pourraient passer le « code* » au lycée.
La présidente de la région Poitou-Charente, Ségolène Royal, s’est également dite favorable à cette mesure. « Il y a trop de jeunes qui roulent sans permis de conduire parce que c’est très cher », a-t-elle déclaré. « Il faut que l’école prenne en charge le passage de l’examen du code de la route », a-t-elle ajouté, se prononçant pour la gratuité de cet examen.
« Une catastrophe »
Si tous souhaitent le renforcement de l’enseignement de la sécurité routière, les professionnels concernés sont très prudents face à cette idée. Régulièrement évoqué en France depuis quelques années, le permis à 16 ans existe en Australie et aux États-Unis, et est à l’étude en Suisse.
Pour la Fondation Anne Cellier contre l’insécurité routière, cette proposition est une « hérésie* ». Sa vice-présidente, Jehanne Collard, rappelle que « les accidents de la route représentent la première cause de mortalité chez les jeunes de 15 à 25 ans ».
« Si on faisait simplement un permis de conduire à 16 ans, ce serait une catastrophe », renchérit* le président de la Prévention routière Jean Flory. Selon lui, aux États-Unis, les jeunes conducteurs âgés entre 16 et 18 ans « ont trois fois plus d’accidents que les 18-20 ans ».
Pour la Prévention routière, permettre à plus de jeunes de conduire et les aider fi nancièrement est une bonne idée mais il serait nécessaire que les nouveaux conducteurs soient « vraiment encadrés* », comme le sont aujourd’hui les jeunes qui pratiquent la conduite accompagnée dès 16 ans aux côtés de leurs parents.
Robert Namias a précisé, hier, qu’il demanderait au CNSR de préparer un rapport en ce sens. Mais une telle proposition, avant d’être acceptée, doit aussi être examinée par les autres États-membres de l’Union européenne : une directive* de 1991 fi xe en effet à 18 ans l’âge minimum pour passer le permis de conduire en Europe.
Le Journal du Centre , jeudi 9 septembre 2004
Impliquerait : entraînerait, aurait comme conséquence
Fléau : grave problème
Cursus : programme, années d’études à l’école
Code : (de la route) règles à respecter pour conduire
Hérésie : non sens, stupidité, idiotie
Renchérit : ajoute
Encadrés : aidés, surveillés, guidés
Directive : règlement, loi
1. Cet article est destiné à :
a) c convaincre le grand public.
b) c présenter une nouvelle réglementation.
c) c exposer des points de vue.
2. Écrivez les noms des personnalités qui expriment les opinions suivantes sur le permis de conduire à 16 ans.
Nom(s) |
Pour le permis à 16 ans |
Tout à fait contre |
Contre, sauf si l’on fi xe des conditions très précises |
3. Relevez dans le document :
a) un argument pour le permis de conduire à 16 ans ;
b) un argument contre le permis de conduire à 16 ans.
4. Citez deux mesures proposées pour faciliter l’accès au permis de conduire à tous les jeunes.
5. Dites si les affi rmations suivantes sont vraies ou fausses en cochant la case correspondante, et relevez dans le texte la phrase qui justifi e votre choix.
Vrai Faux
a) Donner la possibilité aux jeunes de moins de 18 ans de pas- ser le permis de conduire est une idée nouvelle et récente en France. Justifi cation : ... |
c c |
b) Les jeunes suisses ayant 16 ans peuvent maintenant passer leur permis de conduire. Justifi cation : ... |
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c) Aux États-Unis, le permis de conduire à 16 ans a été une réussite. Justifi cation : ... |
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d) La France ne peut pas décider seule de fi xer à 16 ans l’âge minimum pour passer le permis de conduire. Justifi cation : ... |
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e) D’autres pays d’Europe ont déjà mis en place chez eux le permis de conduire à 16 ans. |
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Justifi cation : ...
6. Choisissez un des sujets proposés et écrivez une composition (120 mots).
1. Dites ce que vous mangez chaque matin au petit-déjeuner ou au déjeuner. Précisez où, à quelle heure, avec qui vous le prenez. Qui le prépare et qui nettoie la vaisselle.
2. Les mères savent mieux s’occuper des enfants que les pères. Qu’en pensez-vous ?